La France a bénéficié d’un sursis supplémentaire jusqu’au 29 octobre afin de trouver un compromis avec l’Union Européenne sur sa politique en matière de paris sportifs.

La France se doit toutefois de faire valoir ses arguments pour parvenir à un consensus avec l’Union Européenne. Si aucun accord n’est trouvé, l’affaire serait transmise devant la Cour de justice de la Communauté Européenne et pourrait déboucher sur une condamnation de la France.